Quand j’étais petite j’ai inventé un jeu. Il commençait par : « on disait qu’on était… » Ensuite, il n’y avait pas d’autre limites que celles imposées par l’imagination – et déjà à cette époque, la mienne était alimentée par une boulimie de lectures frisant la pathologie.
Les choses n’ont en fin de compte pas beaucoup changé en vingt ans. Je lis toujours beaucoup (trop selon certains, mais vous savez comme moi qu’ils ont tort), je passe toujours mon temps à rêvasser… par contre, ma grammaire a connu quelques améliorations !
Je suis ravie de partager avec vous mon imaginaire. Si vous voulez discuter, contactez-moi directement !